Sommaire
Oh, quel soap opera mondial au quatrième jour de ce clash apocalyptique entre Israël et l’Iran ! Ce lundi 16 juin 2025, l’armée israélienne a décidé de jouer les réalisateurs en interrompant la diffusion en direct de la télévision d’État iranienne – probablement lassée des discours interminables !
Selon les agences iraniennes, la chaîne nationale a été mise en pause quelques minutes, laissant une journaliste s’enfuir du plateau sous une pluie de débris, capturé en vidéo sur X comme un clip digne d’un blockbuster de série B.
Après ce couac télévisuel, la chaîne a repris l’antenne, mais pas sans un drame shakespearien : le ministère iranien des Affaires étrangères a hurlé à « un acte ignoble et un crime de guerre », parce qu’interrompre une émission, c’est clairement pire que tout ! Suivez notre direct si vous voulez parier sur la prochaine scène.
L’escalade, un feu d’artifice sans fin entre l’Israël et Iran

Pendant ce temps, l’ouest de Téhéran a vibré au son de grosses explosions, comme si quelqu’un avait mal réglé les pétards du 14 juillet, selon un journaliste de l’AFP.
Les Gardiens de la révolution, pas en reste, ont dégainé Telegram pour sommer les habitants de Tel-Aviv de déguerpir « immédiatement » – un peu comme un videur de boîte de nuit en colère – tout en se pavanant prêts pour « une guerre longue et totale ». On imagine déjà les répétitions de discours patriotiques entre deux pauses café !
L’hôpital dans la ligne de mire : le scénario des méchants
L’Iran accuse Israël d’avoir joué les vilains en visant l’hôpital Farabi à Kermanshah. Le porte-parole Esmaïl Baghaï a dénoncé avec indignation une « violation flagrante du droit international », oubliant peut-être que les explosions près d’un atelier voisin pourraient être la vraie cause des dégâts. Entre les attaques sur des zones résidentielles et maintenant un hôpital, on dirait un mauvais film d’action où tout le monde veut avoir le dernier mot – et la plus grosse explosion !
Natanz : le bunker nucléaire tient bon (ouf !)

Bonne nouvelle pour les fans de suspense nucléaire : le site de Natanz, pilier du programme iranien, n’a pas pris de nouveaux coups depuis les frappes israéliennes de vendredi qui ont rasé les bâtiments de surface. L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) confirme qu’aucune attaque physique n’a touché la salle souterraine abritant l’usine d’enrichissement d’uranium. Ouf, le drama reste en surface, pas besoin de sortir les masques à gaz… pour l’instant !
Le bilan : un jeu de chiffres macabre entre l’Israël et Iran

Depuis vendredi, on compte près de 250 morts entre Israël et l’Iran. Israël déplore 24 pertes, dont 11 dans la nuit de dimanche à lundi – un chiffre qui monte plus vite qu’une série Netflix. Côté iranien, c’est encore pire : 224 morts et plus de 1 000 blessés, dont 45 femmes et enfants, selon le dernier décompte. On dirait un concours de qui pleurera le plus fort à l’ONU !
En résumé, ce conflit est une tragicomédie où les télévisions explosent, les hôpitaux jouent les victimes, et les nucléaires tiennent le suspense. Espérons que les scénaristes (ou diplomates) trouvent un dénouement moins explosif avant la prochaine saison !